Questions - Réponses


Validation des Acquis de l'Expérience (VAE) : définition

La validation des acquis de l'expérience permet d'obtenir tout ou partie d'un diplôme (BEP, bac pro, BTS, licence professionnelle), d'un titre professionnel, d'un Certificat de Qualification Professionnelle (CQP). La validation s'adresse : - aux salariés, - aux chefs d'entreprise souhaitant améliorer l'image de leur entreprise auprès des banquiers, des collaborateurs ou pour obtenir le titre de Maître Restaurateur ouvrant droit à un crédit d'impôt... - aux conjoints collaborateurs, aux conjoints associés, aux conjoints salariés pour démontrer les compétences acquises lors de la tenue de la comptabilité, de la réalisation de tâches administratives ou de la gestion de la relation clientèle. Certains groupes ont depuis plusieurs années compris l'intérêt de cette démarche, comme l'illustre l'article paru dans l'Express Réussir n°2998 du 18 au 24 décembre 2008. Extraits : 'C'est grâce au vote, en 2002, de la loi de modernisation sociale définissant la validation des acquis de l'expérience (VAE) que nous avons eu l'opportunité de concrétiser une réflexion engagée depuis longtemps sur la reconnaissance de l'expérience professionnelle de nos responsables de restaurant, déclare Hubert Mongon, vice-président RH de McDonald's France (...). Mise au point du référentiel métier, ciblage du diplôme (bac +3), implication de la hiérarchie... depuis 2004, quarante-trois directeurs et directrices de restaurant ayant, en moyenne, 35 ans et une expérience de 14 ans dans l'entreprise ont obtenu leur diplôme (...) soit un taux de réussite de 93%.' Bertand Le Balc'h Formation - Juridique | Virginie Barret - Auteur | lundi 22 décembre 2008

Carte de restaurant : un instrument commercial majeur

La carte est l’instrument commercial majeur de votre restaurant. Elle est le premier contact du client avec votre offre produit avant même d’être rentré chez vous. Elle est malheureusement de plus en plus la seule « vendeuse » au moment de la prise de commande. Elle se doit donc d’être propre, lisible, compréhensible et en bon état Une carte surchargée d’informations, raturée ou tâchée ne donne pas envie de consommer et de plus créé des doutes sur l’hygiène du restaurant (si la carte ressemble à la cuisine ?!!!). Afin de la rendre attractive et de donner envie de consommer, il est possible de mettre en avant les produits à forte marge avec : -Un changement de code couleur -Un descriptif du plat (composition, mode de cuisson, origine) -Une présentation photographique du plat (attention cette photographie ne doit pas leurrer le client et doit être à l’image de ce qu’il aura réellement dans son assiette) La carte doit être renouvelée régulièrement afin de fidéliser la clientèle et de ne pas créer de phénomène de lassitude. L’idéal est un changement à chaque saison, mais 2 changements par an (hiver et été) est déjà très bien. En revanche la rotation journalière est fortement recommandée (stickers ou ardoise) Il est recommandé de créer des cartes différentes (ex : carte des desserts sur un autre support) afin de mieux mettre en avant les produits. De plus cette technique permet de susciter l’intérêt des clients en leur montrant en fin de repas un nouveau support qu’il n’avait pas vu auparavant. La carte doit être facile à consulter et maniable afin que le consommateur puisse prendre son temps pour construire son repas. Préférez la simplicité aux complications. Un client qui fait 3 fois le tour de la carte et qui interroge la personne en face de lui en lui disant « Et toi tu prends quoi ? » est un client que vous n’avez pas séduit, qui est perdu ou qui ne comprend pas. En plus si la prise de commande est robotisée du type : « Vous souhaitez un apéritif ? » -Non merci « Alors je vous écoute… » En plus d’être perdu le client ne va pas se sentir aidé et il va vite devenir stressé car la serveuse ou le serveur va montrer certains signes d’impatience. Il y a aujourd’hui 2 possibilités si vous voulez vendre en maitrisant cette vente. Soit vous êtes d’excellents vendeurs et conseillers qui connaissent parfaitement leur carte et dans ce cas ne faites pas de carte…venez discutez avec vos clients de leur envies, de leurs gouts et orientez les. Soit votre équipe ne connait pas la carte, ni les produits et se contente d’attendre que le client décide seul et dans ce cas investissez dans une carte, une vraie, une carte qui vend… Gestion - Marketing | Bernard Boutboul | dimanche 21 décembre 2008

Démarche environnementale dans les étages : utilisez des déstructeurs d'odeurs écologiques

Actions à mener concrètement ? Lutte contre la pollution de l'air. Canaliser les odeurs. Entièrement d'accord mais utilisez des vrais destructeurs d'odeurs, naturels et écologiques. Voir par exemple un produit qui s'appelle Nolfax qui n'est pas masquant et attesté par un laboratoire du Ministère de la consommation. Gestion - Marketing - Service d'étage | JLDPROMOTION | vendredi 19 décembre 2008

Conclusion d'un nouveau contrat de travail avec la même société : est-il normal de recevoir un solde de tout compte ?

Bonjour, Ma société établis en France vient d'avoir 2 contrats à Monaco. Pour se faire, a été créer une nouvelle société, basé à Monaco avec l'entité monégasque. On m'as proposé un poste sur Monaco (j'étais basé à Paris avant) que j'ai accepté. Mon contrat de travail français à été rompu, et je viens de recevoir mon solde de tout compte (j'étais cadre, sous forfait 218,jours). Or le motif de la rupture de contrat évoqué sur le document ASSEDIC est 'tranfer du contrat de travail selon l'article L122-12' ce qui m'étonne énormement !! De plus, les horaires de travail indiqué est 35h (le forfait annuel n'est nul par mentionné). On indique que mon dernier lieu de travail est celui du siège en France (qui n'est en réalité qu'une adresse postale). Est ce que tout ceci est correct ?? Juridique | Christian | jeudi 18 décembre 2008

Vente à emporter + service à table : de quelle convention dépend-on ?

Bonjour Mon activité est double : vente à emporter 25% en CA)et restauration servie à table(75%) (inscription RM et RC). • De quelle convention collective doivent dépendre mes employés ? Je reprends un fonds de commerce restauration avec son cuisinier qui ne correspond pas à mes attentes en termes de compétences et de salaire. • Puis-je licencier ce cuisinier au motif que mon cuisinier doit dépendre de la convention collective de la restauration rapide ? et en reprendre un autre. Merci pour votre réponse urgente. Juridique | irene | jeudi 18 décembre 2008

Cuisinier en CDI : quelle peut être la durée maximum de la modulation du temps de travail prévue par ce contrat ?

Dans un établissement (hôtel + restaurant) ouvert du 15 mars au 20 décembre, 3 personnes sont en CDI donc pratique de la modulation du temps de travail. Parmi ce personnel : 1 cuisinier : quelle peut être la durée maxi de sa modulation prévue par contrat de travail ? idem pour un réceptionniste et un serveur. De plus, cette entreprise embauche 2 contrats d apprentissage, comment faire en pratique pendant la période de fermeture de l'établissement? Merci de vos réponse Juridique | Corinne | mardi 16 décembre 2008

Face à la crise : menu de crise (REAGIR 1)

Situation de l'entreprise : brasserie en centre commercial, 120 couverts le midi, 13.50 euros ticket moyen - perte de clientèle, déjà, en brasserie le matin et l'après midi (effet cigarettes et 1ers effets de la perte du pouvoir d'achat, depuis + 1 an - fréquentation faible en fin de journée. Baisse de la rentabilité, et baisse du ca - Objectif de l'initiative : mise en place d'une prestation à valeur ajoutée maîtrisée : 'Menu de crise', tel est son titre - Contenus et rentabilité : 7,90 euros - 1 plat fixe (autour des spaghettis, des omelettes, ...), frites - 1/2 bière, ou 1 verre de vin de pays, ou 1 diabolo - 1 café - uniquement les soirs d'ouverture de la brasserie (4)- coût matières premières : entre 21 et 26 % Résultats attendus : personnel opérationnel dans l'une des périodes les plus calmes, le soir, bonne concurrence avec le fast food et la cafétéria d'enseignes bien implantées - maintien de l'ambiance de brasserie, bonne rentabilité sur chaque prestation - générer des ventes additionnelles. Gestion - Management - Marketing | André Picca - Auteur | mardi 16 décembre 2008

Mention Complémentaire sommellerie : les actions de l'association des sommeliers de Paris Île-de-France

A lire pour connaître les actions de l'association des sommeliers de Paris Île-de-France : https://www.lhotellerie.fr/journal/salon-concours-syndicat-association/2008-11/Lassociation-des-sommeliers-Paris-Ile-de-France-intensifie-son-action-aupres-des-eleves-des-mentions.htm Site Internet de l'association : http://www.sommelier-paris.org/accueil Formation - Juridique | Virginie Barret - Auteur | lundi 15 décembre 2008

Logiciel de calcul de prix de revient : où le trouver ?

bonjour je recherche un logiciel pour calculer mes prix de revient avec une base de donnée type mercurial, je m'explique; je voudrai rentrer mes recettes sur ce logiciel et ensuite que ce logiciel calcul le prix de revient de mes recettes en utilisant un mercurial de produits de base avec leurs prix que je mettrai à jour toute les semaines, ce type de logiciel existe t'il merci Équipement - Informatique | nicolas | lundi 15 décembre 2008

Système de covoiturage : le groupe de distribution Casino vient de le lancer

Le groupe de distribution Casino vient de lancer un système de covoiturage. L’idée consiste à mettre à la disposition de tous sur le site Casino un dispositif ouvert à tous, clients Casino ou pas. L’internaute enregistre son souhait de déplacement, que ce soit loisirs, travail, shopping ou simple trajet. Une fois les demandes de covoiturages enregistrées les inscrits sont prévenus de cette demande par SMS ou message vocal dès qu’un autre internaute peut effectuer ce trajet avec eux. Comme l’usage le veut en la matière, passagers et conducteurs s’entendent librement sur le partage des frais. La pratique la plus courante étant 0,05 € du KM. C’est économique, convivial et écologique. Imaginons maintenant qu’une concentration de restaurateurs d’un quartier, ou d’une zone périphérique se regroupaient en proposant le même type de service sur un site dédié. En plus de l’intérêt écologique, cela aurait un intérêt d’incitation à la fréquentation des restaurants. Pour ceux qui n’ont pas de voiture, ceux qui ont une voiture et qui ne veulent pas l’utiliser, ceux qui veulent économiser du carburant, ceux qui sont seuls…Et puis au delà du client, ce même service peut être ouvert aux salariés des restaurants en question, aussi bien pour venir travailler que pour sortir ! Gestion - Marketing | Bernard Boutboul | samedi 13 décembre 2008

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